Bien sûr qu’une petite élection dans une commune française n’a pas grand chose à voir avec un vote aussi stratégique pour l’Europe que celui des Grecs ! Et bien sûr que le Syriza n’aura aucun mal à trouver les deux voix qui lui manquent si les « Grecs indépendants » sont trop infréquentables. Nous voulions simplement souligner que c’est fini, les alliances selon les étiquettes. Syriza n’a choisi ni l’alliance avec le PASOK, ni avec le KKE (les correspondants grecs du PS et du PCF) mais en fonction de son objectif n°1 : renégocier la dette sans sortir de l’euro. C’est le point commun avec notre choix à (...)
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