Pas du tout ! Le PLU une fois adopté dicte ce qu’un promoteur a droit de faire ou de ne pas faire. Si le maire s’oppose à ce qui est autorisé par le PLU, il risque un procès en tribunal administratif. Actuellement le PLU en vigueur est le PLU - Cordillot. La révision du PLU permet cependant de mettre les décisions en "sursis à statuer". Quand la maire adjointe à l’urbanisme demande de mettre 6 étages là où le PLU-Cordillot en autorise 8 ou 10 , elle a donc un moyen de pression pour négocier. Mais une fois le PLU définitivement adopté, ce n’est pius possible. Or ce genre de principe sur la hauteur des (...)
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