Cette question de la privatisation du nettoyage pour cause d’absence de « modernité » de nos amis balayeurs n’est toujours pas digérée par les agents, semble-t-il. Aux « Vœux du personnel », vendredi 11 janvier, le Directeur général des services s’est senti obligé de leur faire un gros câlin : « Si nous privatisons la conduite de ces machines perfectionnées, c’est pour que vous, les agents, puissiez-vous dédier à votre rôle d’agents de terrain, de dialogue avec la population ». Le maire et son DGS découvriraient-ils l’importance du « contact humain » dans la bonne gestion d’une ville ?
À propos de vœux, ceux (...)
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