En écoutant Eva Joly illustrer son analyse très construite d’exemples européens, je songeais aux exemples dans l’actualité française. Trois affaires dont la presse parle abondamment me sont venues à l’esprit, qui illustrent la difficulté d’identifier la « contrepartie » du favoritisme. Rappelons ce qu’en disent les journaux :
1. Affaire des sondages de l’Élysée. Marchés publics passés irrégulièrement par le cabinet de Sarkozy. Personne ne recherche une contrepartie précise ! Ce pur « favoritisme » ne vise qu’à se concilier les bonnes grâces de sondeurs, qui sont aussi des commentateurs politiques.
2 Affaire (...)
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